Comment Pantagruel loue le conseil des muetz. Chapitre XIX.
Pantagruel, ces motz achevez, se teut assez long temps, et sembloit grandement pensif. Puys dist a Panurge. L’esprit maling vous seduyt. mais escoutez. J’ay leu qu’on temps passé les plus veritables et sceurs oracles: n’estoient ceulx que par escript on bailloit, ou par parolle on proferoit. Maintes
Comment (respondit Panurge) l’entendez? Si vray feust que l’home ne parlast, qui n’eust ouy parler, je vous menerois a logicalement inferer une proposition bien abhorrente et paradoxe. Mais laissons la.
Je (respondit Panurge) voluntiers d’une femme le prendroys, ne feust que je crains deux choses. L’une, que les femmes quelques
L’aultre: qu’elles ne feroient a nos signes
Vous (dist Pantagruel) ja ne m’en ferez rire. Je sçay assez que toute moinerie moins crainct les commandemens de Dieu transgresser, que leurs statutz provinciaulx. Prenez doncques un homme. Nazdecabre me semble idoine. Il est mut et sourd de naissance.
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