Lefranc A., Œuvres de François Rabelais, 1922, t.4, p.294, note 14 :

Les Chroniques de Turpin, attribuées à l'archevêque compagnon de Charlemagne, furent en vogue jusqu'au XVI^e siècle, en dépit de leur caractère fabuleux, que R. relève ici. (On y voit, par exemple, Dieu arrêter la course du soleil pour permettre à Charlemagne d'achever de déconfire les Sarrazins.) Régnier, dans sa satire X, parlera encore du chroniqueur Turpin. (P.) — La chronique de Turpin venait d'être réimprimée à Paris, chez P. Vidoue, en 1527, sous le titre de : « Cronique et histoire faicte et composée par révérend père en Dieu, Turpin archevesque de Reims,  l'ung des pairs de France, contenant les prouesses et faictz d'armes advenuz en son temps du très magnanime roy Charles le grant, autrement dit Charlemagne et de son nepveu Raouland. » (C.)